Depuis mon stage de Boston, je vais me charger de dépoussiérer ce site qui vaut le détour!
Pour commencer, ce sera donc le récit du tournoi Paris Tech 2012.
Aujourd'hui avait lieu le tournoi ParisTech, réunissant comme son nom l'indique les établissements partenaires de ce label.
La poule! PC, CP, HEC (enculés!)
Avec les deux premiers de poule qui sortent pour les phases finales. On se dit: énorme! On va sortir les deux équipes!
Les matchs: 9h30: PC-HEC
Les porcelets débarquent sur le terrain, frais comme des gardons, face a une équipe d'HEC moins chétive que l'année dernière. Première mi temps (celles ci durant 8 minutes), on se fait un peu rouler dessus, bizarrement puisque on les découpe au plaquage et dans les rucks. Moralité : 1-0 pour eux a la mitemps.
On fait rentrer quelques chimistes a la mi temps pour récupérer, et la le jeu se débloque! On parvient a écarter, et a enfin jouer. On leur plante 5 essais, dont trois du splendide thomas Lepitre, fouinant dans leur défense.
Deuxième match:
Le classique, tres attendu.... PC...CP!!!!!
Equipe PCN, versus CP plus 2 ens.
Un match d'anthologie! Les mecs de cp sont on fire, et nous plantent un bon essai dans les dents des le début. Sans en démordre, les porcelets à la sauce PC remontent la pente en inscrivant à leur tour un essai! Les Plaquages s'enchainent, les débordements aussi.. A noter un splendide essai planté aux 22 par un respo rugby étourdi! Au final, il y a 4-4 en fin de match. Dernière action, PC a la balle... Et lentement, ils remontent le terrain! pour occuper les 5 mètres adverses. Bouillant sur le banc, Gabite veut rentrer, et le fait profitant d'une chute du colosse Lepetz. Se saisissant de la balle, il percute et marque l'essai! Quelle ne fut pas sa surprise en se retournant et en voyant Valou lui sauter dans les bras ! Une fin a 8 bien dissimulée, qui marque la victoire de PC!
Troisième match:
CP-HEC
Les mecs de CP jouent, avec les normaliens, supportés par des mecs de PC en cas. Etant allés avec Jacky et Romain jouer avec les Arts qui n'étaient que 6 (on a mis une bonne pétée aux Mines d'ailleurs), je n'ai pas vu ce match... Qui a vu la défaite de CP. Peut être quelqu'un pour un résumé?
Dernier Match (quart de finale!)
Porcelets-ENSTA
Bon, classique d'après manger, on a perdu! Face a une équipe de l'ENSTA modernisée, avec des gars vraiment costauds... Ce qui ne nous a pas empêchés de bien plaquer, surtout Valentin le bouledogue qui a bien découpé, et de construire des rucks solides. Mais la désorganisation de la ligne et le non suivi des actions nous coûte la suite du tournoi!
Et parce que sans striker c'est chiant, on a striké la finale de handball parce qu'il y avait PC.
Pour résumer, un Tournoi ParisTech bien bonnard, avec de l'intensité et du beau jeu!
La burne:
Jeremie et sa cheville 10 pts
Gabite pour son essai aux 22 10 pts
Gabite et Valou pour l'essai à 8 5 pts chacun
Gabite pour son pilou foireux 5 pts
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C'est en effet ce weekend qu'a eu lieu le Tournoi Omnisports de Supélec.
Notre goraille est représentée par 12 membres (on compte Thomas CP qui est arrivé à 13h pour le dernier match). Arrivée sur les terrains de l'Ecole Polytechnique 20 minutes avant le premier match, les porcelets s'échauffent rapidement avant d'affronter leur premier adversaire, l'ENSMM Besançon.
Match délicat où les bases du 7 ne sont pas assimilées. On perd trop de balles car les personnes qui vont percuter n'ont pas de soutien. Heureusement notre DTP inscrit un essai (Thomas ayant préféré faire une passe dans l’en-but plutot que d'aplatir, mais ce dernier transforme l'essai avec un joli drop). Le jeu cafouille, on encaisse un essai. Après de nombreux changements (le tournoi était sur grand terrain), DTP inscrit un deuxième essai et les porcelets gagnent 12-5. Ceci nous met en confiance pour la suite, malgré la blessure de Léo à l'épaule.
Deuxième match plus d'une heure plus tard contre Medecine Dijon. Equipe très physique et qui sait jouer au 7, on prend la marée d'entrée. Au final le score est très lourd, les porcelets n'ont pas ouvert le compteur, malgré une vaine tentative des avants à la fin du match.
Dernier match contre X1. Ce n'était pas la même équipe qu'au Tournoi ParisTech, mais ils étaient loin d'être mauvais. Matthieu inscrit un essai grâce à ses cannes, et on encaisse sur un plaquage râté. On est mené 7-5 à la mi-temps, synonyme de troisième place de la poule non qualificative. Deuxième mi temps assez physique, avec beaucoup de fautes sanctionnées contre nous. On prend plusieurs fois 10m de recul sur les pénalités car nos joueurs ne peuvent pas s'empêcher de se taire sur le terrain. Puis la flèche Jacky nous montre ses talents en inscrivant l'essai salvateur à la dernière minute. Victoire 12-7, on est donc qualifié en 1/8eme du TOSS 2012.
Dès la fin du match de poule, l'organisateur vient voir le responsable pour annoncer que le huitième se joue de suite. On négocie 20 min de pause pour souffler, et on affronte donc SupOptique (fournisseur officiel de boissons énergisantes des porcelets). Enfin un vrai match à 7 ! Sur un mauvais coup d'envoi de notre botteur, on prend un essai direct sur le bras cassé. Le match est physique, de jolis plaquages et des belles courses. Malgré un doublé de Matthieu, on s'incline 4 essais à 2 sans compter les transformations. L'aventure dans le tournoi s'arrête donc ici.
On retiendra l'énorme picnic, les talents de certains à voir les en avants des autres matches à la place de l'arbitre, et la bonne ambiance du tournoi. Des activités étaient organisées sur le campus de Supélec, comme du paintball ou du ball trap laser.
On s'est bien régalé sous le soleil parisien et sur les terrains bombés de l'X, et c'est l'essentiel.
Burne :
Valentin : 5 points pour la blessure au 1er match.
Thomas : 10 points pour l'engagement raté contre SupOp + 10 points pour l'embrouille avec l X
Francois DTP : 2 points pour les courses sur les ailes.
Léo : 5 points pour les ligaments de l'épaule.
Thomas CP : 10 points pour l'arrivée juste avant le match contre SupOp.
Charlie : 10 points pour l'action ratée contre Medecine Dijon
Romain : 20 points pour les en-avants et les plaquages ratés.
Mickael : 5 points pour la charette
Gabite : 2 points pour la substitution d'Hugo.
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Ce Jeudi, on a joué un match avec un effectif nouveau : quasiment toute
l'équipe est formée de 1re et 2eme année. C'est donc le moment de montrer
que le noyau des années futures a pris un peu de la graine cette année, et
une bonne marge de progression.
Après une bonne phase offensive des Porcelets, l'adversaire fait des
fautes, mêlée à 5m et Thomas inscrit son premier essai avec un beau départ
du 8.
Ensuite, on est retranché dans notre camp, on se met à la faute bêtement
(hors jeu, entrée sur le côté d'un ruck..), la Sorbonne revient à 5-3.
Mais les Porcelets se ressaisissent et Matthieu inscrit un essai en bout
de ligne après un bon travail des avants. 10-3.
Les Porcelets continuent de mettre la pression, mais on se fait prendre la
balle et nos lacunes en placement nous font prendre un essai de 80m sur un
joli coup de pied de la sorbonne, en comptant également sur la charrette
des 3/4. On arrive à la mi-temps avec un score de 10-10.
Reprise du jeu, mental renforcé. Malgré des en-avants à 5m de la ligne,
voire même dans l'en-but, Matthieu et Thomas inscrivent deux essais, et
notre grand 8 dans son jour de tricks transforme un essai. Le score est de
22-10.
Après on sort des fautes de jeu de l'espace : on écarte mal les ballons,
thomas fait des passes à l'adversaire, on fait des en-avants dégueu.. Il
reste pas mal de travail encore. Surtout qu'on prend un essai d'orgueil à
la dernière minute.
Score final 22-15, on a un bon noyau mais il reste encore beaucoup de
progrès à faire si on veut espérer une perf l'année prochaine. On notera
que Vincent J a sorti un énorme match cette aprem.
La burne :
Thomas 8 : 20 points pour la transfo, 10 points pour la passe à
l'adversaire alors qu'en écartant il y avait essai et 10 points pour
l'essai en départ du 8 et 20 points pour l'annonce en touche pour lui, et
il se barre du bloc quand Mickael lance
Thomas CP : 50 points pour l'en avant dans l'en-but
Mickael : 10 points pour l'annonce en touche qui fait rêver, et la touche
pas droite qui finit dans les bras de l'adversaire
Valentin : 20 points car il se tord la cheville avant le début du match,
et 10 points pour avoir fait la bise au pilier adversaire dans la mêlée
Alexei : 20 points pour la charrette
Charlie : 30 points pour le placage raté qui donne l'essai final à
l'adversaire
Julien : 5 points pour le mégaphone
Romain : 10 points pour les en avants, et le regard sur le ballon en
chandelle, sans bouger
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Des petits oiseaux perchés tout là-haut
Personnages :
Mickaël : Responsable
Hugo : Le gueulard
François : Captain Chétif
Léopold : Le chanteur
David : Le Sodomite du dimanche
Yvan : Le 9
Mathieu : Flanker
Valentin : Le Tamagochi
Rodioquelquechose : Ben « Rodio »
Pierre : Le Roux (eh oui, il en faut bien un)
Les Porcelets : Mélange hétéroclite et hétérogène d’hétéros et autres humanoïdes associés de la Montagne Sainte Geneviève.
2008-2011 : 4 années dont une de suspension, 8 défaites et un nul
Le challenge centrale Lyon : 14 heures de bus, 3 heures de sommeil, 20 l d’alcool par personne, pas de filles.
CCL 2012 : Après un tel bilan, qui peut-être assez débile pour perdre 2 jours et aller risquer de choper un rhume, une chtouille masculine ou un genou en moins si loin de ses bases ?
Eh bien, en ce qui concerne le rugby masculin, car c’est bien de cela qu’il s’agit ici, 18 malheureux se sont laissés tenter.
Nul n’aurait assez de talent pour décrire avec assez de talent l’histoire de ces 18 valeureux et de leurs comparses handballeurs, skieur (il était seul), pongistes ou spectateurs.
Le bus affrété par le responsable était du niveau de celui sur Canal quand on voit les joueurs descendre avec des écouteurs sur les oreilles en ignorant les supporters. Floqué de la célèbre marque à l’étoile à trois branche (Pour les 130 et les rugbywomen peu habitués aux métaphores et autres figures de style, je traduis : Mercedes ). Le confort était au RDV. Les cœurs étaient serrés en quittant PC, Léo, Rodio, François et Hugo versaient une larme en laissant derrière eux le bar de PC encore en travaux et le Pc@fé (vous pensiez tout de même pas qu’ils étaient tristes de laisser leur blonde 2 jours).
Présent il y a quatre ans dans ce même bus (moins bon modèle), j’étais déçu et, à vrai dire, rassuré de voir qu’à porte d’Orléans, nos chances n’étaient pas galvaudées car nul joueur n’avait encore vomi. En effet, la consigne de 2008 « Les mecs, on est pile 15 et on joue à 8h30 demain donc on ne boit pas dans le bus » avait fait long feu et, dès avant porte d’Orléans, la crise de foie subite touchait 3 joueurs.
Considérer les heures de bus comme inutiles et fatigante est faux. Elles soudent une équipe, des individus qui s’ignorent encore, une équipe en gestation. Comment rapprocher deux êtres aussi différents qu’un physicien en thèse de micro-disques mécaniques et un bibliothécaire ? Comment un Réunionnais et un Toulonnais ? Comment un 130 et un 126 ? Eh bien dans le silence, dans la concentration et « UN PETIT OISEAU PERCHÉ TOUT LÀ-HAUT UN VERRE À LA MAIN CHANTAIT CE REFRAIN J’ÉTAIS PLEIN HIER SOIR JE SUIS PLEIN CE SOIR ET SI TOUT VA BIEN JE SERAI PLEIN DEMAIN MATIN ».
6 heures de chansons et vous n’avez plus de voix mais connaissez la voie, celle de la victoire, celle de l’Histoire. Car oui, ces 18-là ont marqué l’Histoire ; pas celle des livres, pas celle des programmes scolaires, celle de PC[1].
Coucher 1h30, levez 6h30, bus à 7h15, match à 9h, au menu : du faux lait et de la confiture industrielle, un chauffeur raté trompettiste accompli, Centrale Lyon, Ens Lyon, Mines de Nancy.
Comme à leur habitude, les Porcelets se distinguent rapidement par leur hauteur de vue et leur arrogance. François Potier, autoproclamé capitaine, préparait un discours d’avant match dans le bus qui devait nous mener vers un jour meilleur. « Les mecs, ne soyez pas chétifs. Regardez les Mines de Nancy, ils sont Allemands[2], ils sont chétifs, ils tremblent ». Il fallait alors cette provocation gratuite et risquée étant donné notre bilan passé.
Arrivés dans des vestiaires à bestiaux du côté de l’école vétérinaire de Lyon, nous nous changions pour revêtir nos couleurs noire et rose. Nous étions peu dépaysés, porc au milieu de vaches et chevaux. Réveillés plus qu’échauffés, Centrale Lyon souhaitait mettre à son menu l’humiliation, il n’a eu que désillusion. Un match d’avant, un match qui donne un 3 – 3, un match qu’Hugo Defienne définit ainsi :
« Les mecs, on aurait pu se faire bien 3—8 sur la dernière pénalité. Les mecs quand on voit le résultat d’un match 3-3, on se dit vraiment que ça a été un match de merde, un match qu’on est content de pas avoir regardé, un match de débiles mentaux… Vous êtes juste des gros §$£** ?! une bande de gros !%%** vous avait un µµùù^à la place des ++$$¤¤ je vous µµ%%% à la %%%% »
Ok, Les arrières n’ont pas eu beaucoup de ballons, il faut quand même rappeler que Captain s’était fait piétiner la gueule et provoquer le carton rouge donné le plus tôt dans toute l’histoire du rugby 9h05 du matin. Simon y a laissé un genou quittant prématurément une compétition qu’il éclaboussait de toute sa classe, avant que cela ne soit l’inverse.
Match nul (pénalité du chanteur) contre l’école qui reçoit, qui a dormi chez soi 12h, qui est venu tranquille en bagnole, qui nous a privé d’eau et de nourriture, je dirais que c’est honorable. Le gueulard, car il sera nommé ainsi à partir de maintenant, en a pensé tout autrement et nous l’a fait savoir dès la fin de la rencontre.
Je dois m’arrêter ici pour exposer les incohérences des coaches, capitaines et autres fausses autorités rugbistiques pcéennes. Le 9 vous dit qu’il faut attaquer au large après que captain vous dise qu’il faut partir au près avant que le gueulard vous jette comme un sous-rugbyman (certains ont pleuré). Comprenez bien que ce genre de message passe très peu auprès de personnes qui ont un certain recul sur les discours. On aurait dit une équipe politique en campagne, pas un pour rattraper l’autre… donc Messieurs, coordonnez- vous avant de donner des leçons de cohésion.
Le moral à bloc après cette humiliation publique, nous préparions notre second match, 2h plus tard, contre l’ENS Lyon, réputée redoutable. Il n’en fut rien. Travail de sape des avants, valse des arrières, captain, gueulard et 9 montraient la voie et le festival commençait. 4 essais à 0. On leur a mis un beau bouchon à nos amis lyonnais. Gueulard était calmé, et l’histoire prenait le relais pour rugir en nous (au moins).
Restaient les mines de Nancy, les chétives mines. Nous ne pouvions perdre après la provocation matinale. La réputation de Captain en dépendait. Alors nous avons fait le travail : 4 essais à 0 sans parler des transformations. Les mines ont été asphyxiées et nous sortons des poules avec 2 victoires nettes, un nul contre les organisateurs et aucun essai encaissé, +51 au goalavérage, le meilleur bilan ever et il fera date. En route vers les quart. Nouveau discours stressant de gueulard qui avait, en plus, enrôlé Rodio pour gueuler aussi un truc du genre « ça suffit les conneries, on fait les beaux on est en quart, on s’en fout, c’est rien les quarts. On faisait les marioles dans le bus et là on doit prouver quelque chose maintenant, c’est maintenant sinon ce soir on sera des guignols… » nouveaux propos incohérents avec captain qui dit qu’on est là pour s’amuser et profiter [sic].
Malheureusement, 2 nouveaux blessés venaient compléter les rangs de l’infirmerie (non non pas David Parrain). La perte la plus lourde (en termes de poids) était celle du Respnsable, touché à l’ongle du petit orteil. Son ongle incarné se réveillait au pire moment et le privait de phase finale (au singulier car il n’y en a eu qu’une). Ce même homme qui, quelques heures plus tard, devait être trouvé sur le dance floor dansant avec une Monique Boo-Bun, une amie sienne, ce même homme qui devait courir le lendemain matin pour aller chercher les sandwiches, ce même homme qui donc s’est bien foutu de notre gueule et a surtout fait les croisés du neurone antérieur gauche du moral.
EM Lyon – Porcelets : encore des locaux qui avaient bien dormi, des presque HEC, il ne fallait pas perdre, il ne fallait pas craquer. Ils étaient frais et vaillants, nous commencions à sentir le poids du sommeil et le soleil de plomb nous prenait nos dernières forces. Nous livrâmes bataille mais Gueulard nous abandonna. Après un premier essai pris un peu contre le cours du jeu, nous faisions plus que de la résistance nous rapprochant par pick and go de leur ligne. Plus qu’un et nous allions marquer quand 9 décida d’écarter et s’en suivi un en avant réduisant nos espoirs de retour à néant avant la mi-temps. Une dernière action depuis leur 22, les lyonnais, par leur 15, allaient faire une chevauchée fantastique jusqu’entre nos perches. Le gueulard, trop fatigué d’avoir gueulé, laissait passer le quinze à proximité sans tenter quoi que ce soit, en le regardant passer comme les vaches nous regardaient jouer. Résultat : 2 essais à 0 à la mi-temps. Malgré un combat rugueux en 2e mi-temps, la domination non concrétisée et la conquête en touche mal assurée nous coutaient le match. Pas de demi-finale, pas de dimanche, tant pis on pourra s’amuser (jusqu’à 11h heure à laquelle la moitié de l’équipe s’est couchée…).
Le reste c’est Respo et son Bo-Boun, un paquito dans la cantine, des petits oiseaux chantant et buvant en chœur, des chasses à la femme au milieu des steaks hachés, Léa la cheerleader cagolaise (AH AH AH lui dit Léa, non David la mets pas lààààààààààààààààà), c’est gueulard et le chanteur en anciens de Centrale Lyon, c’est les 9h de bus de Rémi, c’est Jimmy en retard, c’est Valentin qui a des besoins, c’est Marine et son stabilo, c’est Hugo et ses dessins intimes, c’est Mélissa (AH AH AH dit Mélissa, non non non me fais pas çaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa), c’est le SGEG, des publis, des rires, un retour mythique et un point final.
Je dois dire les gars, qu’en repensant à tout ça, je me suis mis un bon doigt dans l’oreille.
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Toute la soirée ne peut être racontée: le flam's, la mascotte de cochon, les chansons, le panneau Paris, le poste du Maine...et le remerciment de Brice:
Salut,
j'écris depuis l'aéroport et je m'envole bientot,
Dans 12 heures il fera 32 degré et je boeirais un ptit rhum bien peinard
Cette soirrée fut grandiose même si les petit les petits jeunes se la collent une peu trop vite et son pas à la mesure des anciens
On remarquera qu'il existe un certain talent littéraire chez les porcelets.
alors ce qu'on pas payer donner vos 10 euros à valentin avant qu'il vous chie à la gueule.
celui qui a pris mon calendrier devra me le rendre à la rentrée
Si je pouvais récupérer mon costume de porcelet (enfin toute les parties éparpillé) à la rentrée pour pouvoir vous supporter à votre premier match l'an prochain.
allez je monte dans l'avion
merci encore les gars
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