Pas peu surpris de n'être prévenu que le samedi soir que nous allions disputer les demi-finales de la coupe de Paris, en compétition éliminatoire comptant pour la qualification en championnat de France Universitaire, nous avons d'abord essayé de décaler ce match. Il tombait en pleine révision de partiels de l'ESPCI et durant les vacances de l'ENS en conséquence, nous risquions de manquer de joueurs... Compte tenu du calendrier très serré du CRSU, il était impossible de décaler ce match : un report valait un forfait...
Etant donné l'importance de ce match, Benjamin Léger, ancien respo rugby connaissant parfaitement les ficelles du poste parvint à rassembler une équipe de tout premier niveau. Il a fallu remotiver les nombreux thésards qui jouent maintenant le samedi avec le maintes fois titré club porcin.
Le match a bien failli ne pas avoir lieu, les discussions avec le responsable de la FFSU concernant la météo, le report et les forfaits ont duré jusqu'au mercredi après-midi.
L'entame du match a été difficile et les attaques de PGSM nous ont enfoncé au fond de nos 22m, après quelques fautes au sol sur des rucks nous avons été pénalisés. Le botteur de PGSM a rapidement su marquer les 3 uniques points de son équipe. Après 10 minutes difficiles, nous avons récupéré le ballon et nous avons réussi a prendre le jeu à notre compte. C'est grâce à un jeu simple, une bonne occupation du terrain au pied et à une discipline de fer que nous nous sommes approchés de leur embut. Après un renversement de jeu et une belle série de passes après contact, la balle arrive à l'aile et Pierre Marcotte a marqué un bel essai en coin, malgré le retour de son vis à vis. Cet essai est remarquable pour plus de trois raisons : 1er essai de Pierre Marcotte cette saison ce qui ouvre le compteur de l'ENC cette année et surtout il nous permet de prendre l'avantage sur le score de 5 à 3. James n'était pas en grande forme ce jour : c'est la 1er coup de pied raté d'une grande série...
Menés au score, PGSM perd son sang froid. Après qu'un de nos talonneurs ait légalement plaqué un joueur voulant jouer une touche rapidement après que l'alignement ait été formé, les leaders de leur équipe commencent à reprocher à l'arbitre de laisser passer des fautes. Action - Réaction, l'arbitre sort un premier carton blanc pour rétablir l'ordre... Les quelques fautes que nous faisons leur donnent l'occasion de recoller au score, mais aucun autre point n'est marqué en première mi-temps.
A la pause, le discours est simple et lucide : la clé du match est la discipline. Au retour sur le terrain, l'arbitre convoque les deux capitaines pour remonter les bretelles aux beaux parleurs : il ne tolèrera plus aucune reflexion sur son arbitrage. Michel BONTHOUX, responsable de la FFSU présent ce jour m'avoue tristement avoir entendu des mots très agressifs provenant de PGSM.
Remontés comme des pendules, les joueurs de PGSM redoublent de loquacitude : on a peu entendre le neuf adverse dire à Hugo : "Tu vas voir à la fin du match...". Quoi qu'il en soit, acculés dans leurs 22m, PGSM fait des fautes et un en-avant offre une belle mêlée à quelques enjambées de l'en but. C'est François, parti au ras qui rentre second dans l'embut.
http://www.youtube.com/watch?v=GshzynpjRtI
Quelques minutes plus tard, sur une touche, le 8 adverse déséquilibre notre troisième centre ligne de choc ils essaient d'en venir aux poings mais sont vite séparés et gagnent chacun 10 min de pause au bord du terrain.
A 14 de chaque coté, des espaces se créent, et hugo trouve un espace et se faufile le long de la ligne de touche jusqu'à l'embut et reste au sol, bloqué par des crampes... Car le match commence à laisser des traces, avant lui, Bertrand, pour son grand retour et Yoann ont été bloqués par leurs mollets...
La fin du match est ternie par un carton supplémentaire, c'est maintenant le 10 adverse, qui est sanctionné d'un carton rouge à cause de son manque de respect envers l'arbitre. Le décompte des points indique que le score est de 20 à 3. Cependant, l'arbitre m'a confié avoir marqué 25 à 3 sur son calepin. Le score ayant peu d'importance, nous ne lui en tiendrons pas rigueur !
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Cet après midi, sous un soleil couchant automnal, la fière équipe des gorets affrontaient les redoutables joueurs de l'Institut National de Podologie. Le terrain R1 de Pershing présentait encore les traces des averses de la semaine passée : il y avait deux piscines de chaque coté du terrain. C'est sans doute à cause des flaques que les podologues n'avaient pas tous leurs appuis. L'ESPCI a remporté le match 33 à 5, en marquant 5 essais et en transformant 4. L'INP n'a marqué qu'une fois.
Jusqu'à 15h10, nous avons attendu M. Gabriel, l'arbitre car "il devait arriver d'une minute à l'autre". Dans ces conditions, un joueur ayant réussi le test d'arbitrage doit prendre le jeu en main. Nous avons tiré au sort l'équipe qui allait prendre la décision d'envoyer, ou de ne pas envoyer un de ses joueurs arbitrer le match. L'INP a gagné ce toss et ils ont choisi de nous laisser l'arbitrage. Sans hésitations, nous nous sommes tourné vers le major de la formation, Lucas Mercier.
Ce dernier a su être impartial, même s'il a sauvé l'ESPCI d'un premier essai dès la 2ème minute. Après avoir reçu le coup d'envoi, les podologues, loin de jouer comme des pieds, ont lancé leurs 3/4. Ceux-ci sont dangereusement arrivés jusqu'à notre ligne de 5m, jusqu'à ce qu'un de leurs joueurs, sorti tout droit du ruck, tente de ramper discrètement jusqu'à la ligne d'embut. Lucas a judicieusement remarqué que l'applatissement n'a pas été effectué "dans le mouvement".
La première action fut dangereuse et cela a suffit à réveiller l'instinct animal du Porcelet. Après avoir récupéré la balle, nous avons occupé pendant plus de 20 minutes leur camp et nous les avons laissé faire des fautes. Sur un départ en mêlée, le binôme François-Hugo, sur une 89 est le premier à mettre la pression en attaque. Après deux temps de jeu, Francois est à la conclusion de l'attaque et va marquer un essai en coin. Celui-ci ne sera pas transformé.
Les attaques s'enchaînent et se ressemblent, Christopher J. Burrows éjecte la balle sur son premier centre, le petit porcelet fougueux, David Parrain. Celui-ci, tel Jauzion perfore le premier rideau défensif, passe les bras et envoie la balle au second centre, Robin Chaudret. La complicité David-Robin se ressent dans le jeu : chaque attaque nous permet de progresser d'au moins 20m et de mettre en danger l'équipe de l'INP.
Etrangement, les podologues se débarassaient du ballon au pied. Cela permettait à notre arrière, Yoann de tenter des relances. Il s'est fait une première fois stoppé net par un plaquage haut. Les podologues avaient sans doute peur de lui faire mal aux pieds. Sur une seconde relance, après une percée de Nabil, Yoann s'est fait offrir une belle cravatte. Solide comme le granit de sa province natale, Yoann s'est relevé à deux reprises.
Après un jeu de main judicieux, James a vite marqué les esprits avec un coup de pied par dessus. Sur le coup, José a marmoné : "ça, c'est pas très bien joué". Cependant, la chance de l'anglois a renversé la situation, en s'y mettant à 3, les joueurs adverses laissent tomber le ballon, et James s'en empare pour aller aplatir sous les barres le deuxième essai.
Ce n'est que le premier d'une longue série, le bon jeu sans ballon de David a trompé la défense. James s'engouffre dans un intervalle et va déposer la balle sous les poteaux en ayant coiffé à la course, sur 50m la moitié de l'équipe adverse. Il récidive quelques minutes plus tard, sur le coup d'envoi. Après une feinte de passe à son centre de choc, notre demi d'ouverture prend le jeu à son compte et va inscrire son 3ème essai. L'arrière des podologues n'avait pas ses jambes de feu car sa tentative de cuillère a échoué, sans mauvais jeu de mot, c'est un joli pied de nez... Obviously, James is the man of the match. Auteur de 23 points, de 80% de réussite au pied, il n'a raté ni passes ni plaquages.
C'est ensuite Sébastien qui est à la conclusion d'une des plus belles actions du match. Après un engagement défectueux du 10 adverse, nos porcelets demandent une mêlée au centre. Les lignes arrière se scindent de part et d'autre de cette dernière afin de perturber l'adversaire. Talonnage parfait du balon, François récupère la balle et réussi une 89 en laissant deux rebouteux sur le carreau,il passe à Hugo qui passe ensuite à James avec une vélocité qui n'a rien à envier à Usain Bolt. James passe enfin à David qui franchit le premier rideau. Mais l'arrière veille encore! C'est sans compter sur le magnifique crochet de David qui l'enrhume au passage le laissant seul au sol avec juste ses deux yeux pour pleurer. Ce dernier n'est pourtant pas tiré d'affaire et se fait plaquer à 5m de la ligne. Tel un guerrier sparte au termopiles, Sébastien arrive pleine bourre et, recevant la balle de David toujours au sol, perfore les deux derniers podologues pour aller aplatir. C'est l'essai qui finit d'achever les boiteux d'en face. On sent les regards de désespoir de l'équipe adverse qui, nous ayant battu lors d'un match amical, pensait remettre ça aujourd'hui.
Après avoir subi pendant une bonne partie du match, les podologues ont eu un sursaut d'orgueil en fin de match. Une charge renversante du pilier adverse a tout simplement posé Laurent sur ses fesses. Nous avons testé notre défense, et la conclusion est la suivante : il est nécessaire que nous ayons une attitude plus agressive sur les phases défensives.
Une fois l'avance confortablement établie, José a décider de donner du temps de jeu à des joueurs qui ont touché peu de ballons. "Il faut leur faire connaître le vrai contact". Nabil et Michele se sont donc retrouvés à l'avant. En ce qui concerne le placement, il suffit de "coller au cul de Seb, il est toujours bien placé". "David, tu sors. Robin, tu passes 10. Pierre, au centre". En 10 mots, l'équipe prend une allure radicalement différente. Et bon nombre de débutants ont montré leur progression depuis le tournoi ParisTech. Remontés comme des pendules, les podo ont quand même marqué un essai en fin de match. C'est sans doute à cause du coup de pied raté de Robin...
Ce beau match restera longtemps gravé dans les mémoires. Tant par le bon jeu que nous avons réussi à mettre en place, que par l'ambiance qui régnait dans le vestiaire une heure après le coup de sifflet final. Hugo y est pour beaucoup, c'est vrai qu'il avait une grande gueule aujourd'hui : "Allez les gars, il faut qu'on les encule jusqu'au bout les pédologues".
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L'Institut Dauphine d'Ostéopathie était arrivé plein d'idéaux en tête pour battre l'entente de la Montagne Sainte Geneviève mieux connue sous son nom de scène : les porcelets. Aaaaaaah elles furent nombreuses les onomatopées à accent de grouin qu'on entendit en nous dirigeant vers le stade.
Tout avait très mal commencé. Le match manqua d'être reporté faute d'arbitre, José pallia d'un coup de téléphone et d'une recherche rapide dans les vestiaires ce manque. Les ostéopathes faisaient figure de gros bras face à nous mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Nous laissions nombre des nôtres sur le flanc : Cyprien, Florent, notre allier et ami anglois James. Malgré des rangs qui se décimaient nous nous serrâmes les coudes et l'emportâmes collectivement. Ce collectif fut conduit par les deux hommes du match : François et Hugo redorant ainsi le blason terni de l'Espci.
Tout, donc, avait pourtant bien mal commencé quand nous encaissâmes rapidement un premier essai.
Nous réagissions bien et sur une chandelle tapée depuis leurs 22m, les ostéos se faisaient surprendre sur une récupération du deuxième centre qui remettait au deuxième ligne Lucas qui lui remettait, un ruck s'en suivait, notre feu follet Cyprien gagnait suite au ruck son défi face au dernier adversaire et allait aplatir avant les poteaux. Il nous offrait ce cadeau avant de s'écrouler, victime d'un coup bas de son ménisque, plus tard dans la partie. Nous prenions même l'avantage en inscrivant un deuxième essai. Mais en deuxième mi-temps, après une désorganisation liée aux blessures, l’adversaire en profitait pour inscrire 2 essais sur des exploits individuels après une vaillante résistance des avants.
Sous les porcelets percent déjà les porcs, comme le montraient tous les joueurs soudés derrière Hugo et François qui haranguaient leurs compagnons. James depuis son survêtement lançaient même des « allè les gueux ha » très convaincants, si convaincants que François sur un départ depuis une mêlé grâce à une feinte de Léopold partait à l’essai, si convaincants qu’Hugo ramassait un ballon pour aller à l’essai, si convaincants que toute la défense tenait les dix dernières minutes sans laisser marquer les ostéos qui s’inclinaient donc 24 à 17 après un retour très encourageant pour le collectif porcin.
Nos chers ostéos venus pour nous remettre en place sont donc tombés sur un os !!
A noter pour la burne l’homme d’avant match : CA Fogielman qui fut pris par la patrouille…à châtelet après avoir pris l’intervalle derrière cyprien, l’équipe de la Ratp le plaquait et il encaissait ainsi 25 points à la burne !!
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CLASSEMENT : Poule OVALEE7 - RUGBY (RUGBY ECOLE - Masculin) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Arborant fièrement leurs nouvelles couleurs, les PorCelets de la Montagne Sainte-Geneviève ont su se défaire de la redoutable équipe de l'Institut des Hautes Etudes en Droit Rural et en Economie Agricole (IHEDREA ou IDREA pour les intimes) sur le terrain mal tondu de Pershing.
Les PorCelets ont ouvert le score, ont toujours mené et le match s'est logiquement soldé par 9 essais roses contre 2 essais verts.
Le résultat fleuve ne laisse pourtant rien voir à la crise profonde qui touche l'équipe des PorCelets : à 23h45, la veille du match, il était impossible de trouver 16 joueurs à aligner sur la feuille de match. Après avoir fait 5 fois le tour de leurs répertoires téléphoniques pour trouver des joueurs supplémentaires, les respos en ont finalement trouvé deux! La situation sera hardiement abordée au prochain entrainement.
En plus du grave problème de motivation, on peut noter quelques problèmes administratifs : deux joueurs n'ont pas pu disputer le match étant donné qu'ils n'avaient pas leur licence FFSU. Pierre l'avait laissée à CP tandis que le BDS de PC en a oublié une autre.
Cependant, le match a démarré sur une note explosive, comme l'illustre le premier plaquage dévastateur de David Parrain, qui a ecrasé le menton du second centre, alors que notre défense glissait merveilleusement bien. Le petit Porcelet fougueux en a d'ailleurs le cuir chevelu marqué. En tant que premier centre, David n'a rien à envier à Jauzion, il a su perforer la ligne adverse, et marquer un bel essai. Avec Cyprien en 10, et David en premier centre, quelques mauvaises langues feront surement la remarque que les ballons n'ont pas du souvent atteindre l'aile... C'est tout à fait faux ! Etonnemment bien servi par le demi d'ouverture, David a su passer les bras pour servir à merveille en bout de ligne des ailliers ravis. Michele et Samuel ont eu droit à leur instant de gloire en inscrivant un essai chacun. Yoann aurait pu lui aussi marquer le sien, s'il ne s'était pas écroulé sur la ligne des 5m avec un grand sourire. Yoann aura des points à la burne, car il a aussi gâché une occasion d'essai en envoyant une passe en avant alors que Nabil était décalé et prêt à filer dans l'embut. Une fois n'est pas coutume, Cyprien a même marqué un essai !
Avec le nombre importants de coups d'envois que nous avons reçus, le principe du "receveur-passeur" a été testé, toujours avec succès. On signalera quand même un "J'ai ! J'ai... Ah non, j'ai pas" d'Antoine Cagniant qui lui vaut des points à la burne.
Mais si l'attaque des 3/4 était bien en place, c'est surtout grâce au bon travail des gros. Leur soutien sur le porteur de balle et leur présence rapide sur les regroupements a permi à notre 9, de dynamiser le jeu. Et c'est dans ce secteur de jeu qu'il a su compenser ses défaillances au pied... Seules 3 transformations ont été réussies, et pas une pénalité n'a été tentée. Les talents de
James auraient sans doute permis d'alourdir le score.
Les avants ont aussi su écraser le pack adverse. Deux essais ont été marqués sur des départs de François en mêlée, combinaison qui a très bien fonctionné. Les 3ème lignes se sont aussi illustrés par leurs talents d'attaquants, François a marqué un 3ème essai alors qu'Adrien, s'est écroulé dans l'embut quelques instants après.
Les bons joueurs s'abreuvent souvent à la coucougnette du porcelet, François a joliment déposé un coup de pied rasant en touche au niveau des 5m, gachant alors un 3 contre 1 offensif.
En fin de seconde mi-temps, les agriculteurs d'en face ont eu un sursaut d'orgueil : leurs attaques imprévisibles ont su désorganiser notre défense mais elle n'a pas été rendue perméable pour autant. Leur essais ont été marqués sur des phases de ballon porté.
En ce qui concerne les histoires de bord de terrain, Hugo 127, grand blessé du 1er match s'est illustré par sa présence. Il a su gérer l'effectif en faisant des remplacements judicieux, bien que parfois originaux. On a pu remarquer la présence, sur le banc de touche, de quelques personnalités, comme les joueurs toniques de l'INP venus voir le niveau de l'équipe de l'IDREA. Déjà présents contre l'ESCPI, ils ont du se faire une idée !
Pour conclure, c'était un match très agréable, aucun hors jeu n'a été à signaler de notre coté. Nous n'avons été pénalisés qu'à 3 reprises sur des Rucks (2 fautes de Cyprien, 1 de David). L'arbitre voulait voir du jeu et a laissé jouer quelques petites fautes au sol et en-avants, mais de manière équitable envers les deux équipes.
La Burne
- 20 pts pour Antoine Cagniant et son annonce sur le coup d'envoi : « J'ai, j'ai... Ah non, j'ai pas ».
- 15 pts à Yoann 126 : 10 pour l'essai applati avant la ligne et 5 pour l'en avant sur l'aile.
- 10 pts pour Pierre qui est resté sur le bord du terrain à cause d'un problème de licence.
- 7 pts pour Francois 127 et son coup de pied rasant en touche.
- 6 pts pour les 6 transformations manquées du demi de mêlée.
- 5 pts pour David et son crâne ouvert qui a saigné pendant tout le match
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